la saison les spectacles

mar. 19 mars  20H30
Guyancourt
La Batterie
1h30

Résumé


S’il est des artistes à découvrir absolument sur scène, la chanteuse Ann O’aro en fait partie. Révélation de la nouvelle scène musicale de la Réunion, Ann O’aro envoûte par la puissance de son maloya proche d’un blues écorché.

Accompagnée de deux musiciens, Teddy Doris au trombone et Bino Waro aux percussions, Ann O’aro chante ses textes, au rythme des pulsations lancinantes d’un maloya – genre musical emblématique de l’Océan Indien – réinventé, où se mêlent des sonorités séga, zouk, balkaniques, jazz…  De sa voix chaude, cette véritable poétesse créole nous dit ses états d’âme. Son chant engagé et enflammé vient du fond du cœur, évoquant sans détour les tabous familiaux et insulaires, dans un style unique, à la fois caressant et cassant, rythmé, viscéral.



Ann O’aro aime tout ce qui touche au mouvement du corps, des rythmes et de la voix. Plus jeune, elle ne cessait de courir, elle s’est même essayée aux arts martiaux en plus de sa pratique de la musique. C’est finalement en revenant dans sa région natale, après quelques années passées au Canada et en Métropole, qu’elle trouve sa voie et sa voix dans un maloya singulier. Mêlant musique, chant et danse, cet art traditionnel tire ses origines des esclaves venus d’Afrique de l’Est ou de Madagascar. Hommage aux ancêtres, complainte, puis vecteur de revendications politiques, il devient chez Ann O’aro un chant de courage et d’émancipation.

Résumé


S’il est des artistes à découvrir absolument sur scène, la chanteuse Ann O’aro en fait partie. Révélation de la nouvelle scène musicale de la Réunion, Ann O’aro envoûte par la puissance de son maloya proche d’un blues écorché.

Accompagnée de deux musiciens, Teddy Doris au trombone et Bino Waro aux percussions, Ann O’aro chante ses textes, au rythme des pulsations lancinantes d’un maloya – genre musical emblématique de l’Océan Indien – réinventé, où se mêlent des sonorités séga, zouk, balkaniques, jazz…  De sa voix chaude, cette véritable poétesse créole nous dit ses états d’âme. Son chant engagé et enflammé vient du fond du cœur, évoquant sans détour les tabous familiaux et insulaires, dans un style unique, à la fois caressant et cassant, rythmé, viscéral.




Générique


Avec Ann O'Aro chant, Teddy Doris trombone et chant, Bino Waro percussions et chant, Brice Nauroy machines

Production Run Productions

Générique


Avec Ann O'Aro chant, Teddy Doris trombone et chant, Bino Waro percussions et chant, Brice Nauroy machines

Production Run Productions

En savoir plus


Ann O’aro aime tout ce qui touche au mouvement du corps, des rythmes et de la voix : « Il s’agit du thème principal de mon premier disque : le corps dans tous ses états, entre violence et combats. Je viens des arts martiaux, avant de choisir le maloya pour chanter sur des sujets intimes et tabous. J’ai l’impression qu’il se dégage de mes chansons une énergie circulaire, comme lorsque tu te sers de la force de ton adversaire pour te défendre. J’avais la sensation de tourner, de circuler autour de ces états du corps pillé, déshumanisé. Le sentiment d’un moment figé, d’un état de choc, du cerveau qui n’enregistre plus rien. Tout, alors, se meut lentement. Par flashs. Je vois ces nuances dans mes textes : mots de folie qui dénoncent, d’autres qui se baladent dans les bas-fonds, d’autres qui respirent à la surface. »

Son écriture sauvage s’imprègne des langages accidentés ou des tics langagiers : une fulmination poétique branchée sur les tabous insulaires de l’île de la Réunion et les émotions fortes. Et le chant d’Ann O’aro jaillit. Un chant qui plonge dans la réalité et ne craint pas les ombres.

En savoir plus


Ann O’aro aime tout ce qui touche au mouvement du corps, des rythmes et de la voix : « Il s’agit du thème principal de mon premier disque : le corps dans tous ses états, entre violence et combats. Je viens des arts martiaux, avant de choisir le maloya pour chanter sur des sujets intimes et tabous. J’ai l’impression qu’il se dégage de mes chansons une énergie circulaire, comme lorsque tu te sers de la force de ton adversaire pour te défendre. J’avais la sensation de tourner, de circuler autour de ces états du corps pillé, déshumanisé. Le sentiment d’un moment figé, d’un état de choc, du cerveau qui n’enregistre plus rien. Tout, alors, se meut lentement. Par flashs. Je vois ces nuances dans mes textes : mots de folie qui dénoncent, d’autres qui se baladent dans les bas-fonds, d’autres qui respirent à la surface. »

Son écriture sauvage s’imprègne des langages accidentés ou des tics langagiers : une fulmination poétique branchée sur les tabous insulaires de l’île de la Réunion et les émotions fortes. Et le chant d’Ann O’aro jaillit. Un chant qui plonge dans la réalité et ne craint pas les ombres.


Guyancourt / La Batterie
1h30

  • mar. 19 mars
    20H30
En partenariat avec Scènes 2 Guyancourt – La Batterie


Revue de presse

Autour du spectacle

En images